4e de couverture:
« Sur l’Ile de Santa Marcia, la multinationale Palma Oïl, productrice d’huile de palme, règne en maître. Jeune écologue militante envoyée sur place pour évaluer les conséquences environnementales de cette activité, Violaine Avalo découvre rapidement que le consortium cache de sombres secrets et que le danger menace ceux qui veulent les dévoiler.
Pour faire triompher la justice, elle va devoir s’appuyer sur des alliés, mais aussi se heurter à un passé trouble. Ce voyage sera pour elle une révélation, une confrontation aux ténèbres de la vérité, ces ténèbres qui mettent en lumière l’avidité et le pouvoir aux dépens des valeurs les plus fondamentales…»
Rendez-vous en terre inconnue d’un super-producteur d’huile de palme …
Mon avis:
Un nouveau roman de suspense audacieux qui tient en haleine avec ses revirements de situation inattendus.
Dans l’atmosphère chaude de Santa Marcia, cette île africaine qui a tout d’une enchanteresse, on est porté par la ténacité de cette jeune écologue qui semble pourtant bien fragile avec ses certitudes et sa détermination à vouloir faire cracher sa vérité à cette imposante société productrice d’huile de palme. À peine arrivée sur place qu’elle est déstabilisée par une mauvaise nouvelle : le décès de sa grand-mère – la femme la plus importante de sa vie – dans des circonstances incompréhensibles qui l’obligent à rentrer en France et la confrontent à un passé trouble.
De retour à Santa Marcia, Violaine Avalo est bien décidée à reprendre son enquête, quitte à prendre des risques. Mais Palma Oïl est un rouleau compresseur de l’agriculture intensive, qui n’a jamais courbé l’échine devant ses détracteurs. Comment s’y prendre ?
Si une certaine lenteur entoure les débuts de cette aventure – sans doute le reflet de la langueur tropicale – c’est une « situation spéciale » qui va la faire basculer dans une dimension très particulière, entrainant avec elle toute une palette de doutes et de remise en question…
Mais je n’en dirai pas plus, si ce n’est qu’il ne faut jamais imaginer que toute vérité n’est pas bonne à découvrir et que les ténèbres ne se dissimulent pas toujours là où l’on croit.
Cette dernière phrase vous paraît énigmatique et pleine de contradictions ? C’est peut-être le meilleur moyen pour moi – lectrice assidue de la plume de Joëlle Vialatte – de vous laisser vous en rendre compte par vous-même, en vous glissant à votre tour dans ce nouveau roman qui fait un peu résonnance au mien « Un sourire pour Chuluun » puisqu’il interroge aussi sur un sujet d’actualité (l’écologie) que l’on ne peut plus ignorer..
Quelques infos:
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